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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 10:45

Sylvain, 24 ans, guitariste et chanteur, travaille dans l’informatique.
Kenny, 23 ans, bassiste, travaille dans la maintenance.
Romain, guitariste et en BTS (2e année) au Lycée Léonard de Vinci.
Valentin, 22 ans, batteur est en recherche d’emploi.
Ensemble, ils forment le groupe Blackout, formé depuis octobre 2012. Amis de longue date, Valentin et Romain ont trouvé Sylvain via internet, puis Kenny quelque temps plus tard.

Gazette : Pourquoi avoir choisi ce nom de groupe ?
Valentin : Une fois, j’avais un T-shirt de l’album Black out du groupe Scorpion. On a trouvé ça bien. Mais on a essayé de trouver quelque chose de plus personnel. On a beaucoup réfléchi sur le nom et finalement on est retourné à la base. La première intuition était la bonne !

Gazette : Comment se passe la phase d’écriture et pourquoi en anglais ?
Blackout : Tout le monde écrit, avec l’aide d’un ami bilingue. Chacun met ses idées, on fait des tests en répétition et si ça marche, on garde. On fait de la tablature avec Guitare Pro et on répète tous les dimanches.

Gazette : Vous avez des thèmes de prédilection ?
Blackout : Nos morceaux ont souvent des paroles assez positives, sur la volonté d’aller de l’avant par exemple.

Gazette : Qu’est-ce qui vous différencie des autres groupes de métal ?
Blackout : Notre style assez varié. On met dans nos morceaux un peu de tout ce qu’on aime et ça donne un cocktail, avec différents styles qui collent bien ensemble.

Gazette : Vous vous êtes déjà produit en concert ?
Blackout : Oui, notre premier concert, c’était aux 18 Marches en février. Un groupe s’était désisté et on nous a appelés. On a fait la première partie, c’était un peu la course mais c’était super.

Gazette : L’accompagnement pendant l’Interlycées vous a apporté de l’expérience ?
Blackout : Oui, c’est bien d’avoir été en condition. On sait à quoi s’attendre. Jouer en live, ça nous a permis de mieux voir la musique.

Gazette : C’était votre première fois en studio ?
Blackout : Oui, avant on faisait ça en répète ; là, le studio ça ne pardonne pas. On entend tout de suite ce qui ne va pas. C’était une bonne expérience. Cela nous incite à être plus carré.

Gazette : Vous appréhendez le concert de ce soir ?
Blackout : La pression va monter après, pour l’instant on ne réalise pas du tout.

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