François P., 17 ans, en terminale S au Lycée Simone Signoret, espère ensuite se diriger vers une école d’audiovisuel dans le but de travailler dans la musique en tant qu’ingénieur du son. Joue du piano depuis 10 ans mais aussi de la guitare et de la batterie.
François C., 17 ans, en terminale S au Lycée Simone Signoret, espère poursuivre ses études dans une fac de musique à Paris 8. Chanteur et guitariste du groupe.
Robin, 18 ans, en terminale S et batteur. Encore indécis sur le choix d’études.
Gazette : Comment s’est créé le groupe ?
François C. : Robin et moi, on se connait depuis la 3ème. Puis, on a rencontré François P. en recherchant un membre pour un concert au lycée à la fin de la 1ère. On a alors créé le groupe et composé cinq chansons.
Gazette : D’où vient le nom du groupe ?
The Scribblers : Le nom actuel, c’est François P. qui l’a trouvé. On s’appelait les Funky Blondies en 3ème. Mais comme on n’écrit un peu n’importe quoi, on s’est dit qu’on allait s’appeler les scribouillards, mais en anglais.
The Gazette : Pourquoi chanter en anglais ?
The Scribblers : Parce que pour chanter en français, il faut du sens. (rires). Il faut avoir quelque chose à dire.
Gazette : Comment se passe la phase d’écriture ?
The Scribblers : On écrit ensemble. Il y a toujours un instrument qui commence. Si ça sonne bien, on poursuit un peu dans la voie. On a tous écrit des paroles de chansons en fait.
The Gazette : Quels artistes vous ont influencés?
Robin : Moi, c’est assez varié : rock, hip hop, métal, électro…
François C. : De l’électro, du pop rock anglais. Coldplay, Muse, Arctic Monkeys, Daft punk…
François P : Les Red Hot, Jimi Hendrix…
The Gazette : Vous comptez continuer le groupe l’année prochaine ?
The Scribblers : On ne sait pas si ça ira l’année prochaine ; ça dépend où ira Robin.
Robin : J’hésite entre Paris ou Strasbourg.
The Gazette : Qu’est-ce que vous faites pour vous faire connaitre ?
The Scribblers : Rien de spécial pour l’instant. On a fait plusieurs concerts mais on n’a pas fait grand-chose pour se faire connaitre.
The Gazette : Qu’est-ce que vous a apporté l’accompagnement de l’Empreinte ?
François P. : Ça m’a apporté pas mal de chose, peut-être même des stages pour l’année prochaine ! Jouer dans une salle comme ça, c’était la première fois. Ça apporte un regard extérieur.
The Gazette : Vous avez fait d’autres concerts avant celui-ci alors ?
The Scribblers : Oui, on en a fait deux au lycée et un à Vaux le Pénil à la Ferme des Jeux. Ça s’était organisé rapidement.
The Gazette : Vos proches seront là ce soir ?
Robin : Mes parents sont toujours venus me voir. Nos amis seront là. On n’appréhende pas trop de jouer devant eux parce qu’on l’a déjà fait.
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